Les pistes d'activation
Pour des solutions de communication papier :
Piste 1 :
Améliorer le ciblage et l’adressage de vos communications :
Il est important de maximiser le taux de lecture pour éviter les envois inutiles.
Piste 2 :
Travailler sur la nature du papier :
Il convient de préférer des papetiers implantés dans des pays aux mix énergétiques faiblement carbonés et qui adoptent des procédés vertueux et robustes validés par des certifications et des labels environnementaux.
Si la sélection de papiers labellisés FSC ou PEFC (c’est-à-dire issu de forêts gérées durablement) est essentielle, l’option du papier recyclé est également une alternative intéressante.
Piste 3 :
Réfléchir au procédé d’impression le plus pertinent :
Pour la phase d’impression, il convient d’apporter une attention particulière à la quantité et à la nature des encres utilisées (biosourcées, végétales). Par ailleurs, limiter les aplats de couleur et l’utilisation de pelliculage contribuent à réduire l’impact.
Pour des solutions de communication numérique :
Piste 1 :
Optimiser l’hébergement :
Il est important d’œuvrer sur la phase d’hébergement des plateformes numériques (data centers, serveurs, infrastructures web…) car elle représente 65 % de l’impact environnemental des solutions numériques.
Les recommandations à appliquer :
- Réduire le nombre de serveurs et héberger les données dans des data centers moins énergivores,
- Localiser des data centers dans des territoires au mix énergétique peu carboné,
- Réduire le poids des emailings, applications, vidéos, sites web hébergés sur les infrastructures numériques,
- Mieux cibler pour mieux adapter les besoins d’hébergement,
Éco-concevoir et amortir les matériels et optimiser leur consommation électrique.
Piste 2 :
Améliorer la phase de transmission
Réduire le poids des documents à envoyer (pièces jointes, images etc).
Piste 3 :
Limiter l’augmentation des flux de données liée au marketing digital.
Qu'est-ce que l'étude ACV ?
L’environnement est devenu un sujet primordial pour les français qui le place désormais au premier rang de leurs préoccupations avec le chômage.